Les années de 1885 à 1900 s’appellent «la Belle Époque» à Paris, pour la prospérité relative et le goût des arts. Les courses de chevaux étaient un divertissement populaire, et les hommes riches avaient souvent leurs propres chevaux et des jockeys professionnels. On aimait parier sur les courses, en gagnant ou en perdant parfois des fortunes.