Les années de 1885 à 1900 s’appellent «la Belle Époque» à Paris, pour la prospérité relative et le goût des arts. Il y avait aussi un «demi-monde» de danseuses de l’Opéra de Paris ou de cabarets comme le Moulin rouge, à Montmartre. Elles étaient parfois des prostituées ou les maîtresses d’hommes riches, comme le raconte le roman Gigi de Colette.